Avec ses enfants, Adikya Guyo a trouvé refuge dans le camp de Dubuluk. Elle raconte : « Nous habitions à environ six heures de marche d’ici. Nous avions 25 vaches et 100 chèvres. La sécheresse nous a tout pris. Nous sommes venus ici pour survivre. » Adikya Guyo se rend chaque jour à l’espace protégé pour les femmes et les filles géré par l’EPER. Elle y trouve calme et sécurité, peut échanger avec d’autres et fabriquer des objets artisanaux traditionnels, qu’elle vend pour gagner un peu d’argent.
L’EPER soutient également les familles restées chez elles avec des programmes « cash for work » de régénération des pâturages, de services vétérinaires, d’installation de réservoirs d’eau ou de réparation de puits. L’utilisation de semences plus résistantes ou la création de jardins potagers doivent empêcher les personnes de perdre tous leurs moyens de subsistance.
Faites un don pour soutenir des personnes qui ont tout perdu et les aider à se construire une nouvelle vie et à subvenir de nouveau à leurs besoins. Rien que dans la région de Borena, notre aide bénéficie à plus de 55 000 personnes. Un grand merci !