Publications de l’EPER

En promouvant des méthodes agroécologiques et de nouvelles techniques d’irrigation, le projet Nurture mené par l’EPER et Caritas Suisse aide les familles paysannes au Cambodge à relever les défis des changements climatiques et à augmenter leurs revenus. Comment ça marche ? Réponse dans nos quatre portraits.

Cette année, nous avons célébré les 20 ans des Permanences volantes à la Maison Internationale des Associations de Genève. L’occasion d’échanger sur l’histoire de ce projet, de témoigner et de fêter ensemble.

Des enfants et des jeunes non accompagnés aussi demandent l’asile en Suisse. Dans le centre fédéral pour requérants d’asile (CFA) d’Altstätten (SG), ils sont accompagnés dans cette procédure par le service de protection juridique de l’EPER. Coup d’œil sur place.

Depuis des décennies, le marché sénégalais est inondé de blé subventionné importé. L’entreprise familiale Kumba entend renverser la vapeur en misant sur des céréales traditionnelles sénégalaises. Cette idée commerciale ne manque pas de potentiel... et d’effets positifs.

Le réchauffement climatique fait monter le niveau de la mer et détruit les moyens de subsistance de la population de l’île indonésienne de Pari. Holcim, le géant suisse du ciment, est en partie responsable de la situation. Quatre habitant·e·s de l’île demandent justice : ils ont déposé une plainte à l’encontre de Holcim en Suisse. Deux d’entre eux étaient en visite dans notre pays au mois de juin.

En Roumanie, l’EPER soutient les jeunes Roms jusqu’à la fin de leur scolarité et dans leur insertion professionnelle. Ils ont ainsi plus de chances de trouver un poste adapté, de toucher un revenu régulier et de mener une vie autonome.

Depuis février 2022, plus d’un million d’Ukrainien·ne·s fuyant la guerre sont arrivés en République de Moldavie. Certain·e·s ont poursuivi leur route vers d’autres pays, mais près de 120 000 réfugié·e·s y sont restés. Nombre de ces personnes sont traumatisées par la guerre. 

Dans le camp de Bidibidi, les menstruations sont source de problèmes. Faute de les recevoir gratuitement, les serviettes hygiéniques sont difficiles d’accès. Pour faire face à ce problème, l’EPER lance un projet pour en fabriquer. Le premier atelier vient d’avoir lieu.

Les personnes qui font face à une crise personnelle grave ont souvent besoin de soutien. Dans les cantons d’Argovie, de Bâle-Campagne et de Bâle-Ville, EPER Logement les accompagne au quotidien et leur fournit un toit si nécessaire.

Chaque vendredi, 12 personnes issues de 11 pays différents se retrouvent dans le quartier d’Oerlikon, à Zurich, pour un cours de « conversation en allemand » organisé par l’EPER. Ces personnes viennent pour pratiquer leur allemand, découvrir la culture suisse et apprendre à se sentir à l’aise dans le pays.

En collaboration avec ses organisations partenaires, l’EPER s’engage pour que les familles paysannes et les groupes de population locaux, tels que les Quilombolas et les Veredeiros au Brésil, puissent vivre de leur agriculture traditionnelle et de la cueillette de plantes sauvages, et vendre leurs produits à des prix équitables.

L’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février 2022 a pris le monde entier par surprise, déjà ébranlé qu’il était par trois années de pandémie de COVID 19. Avec la guerre, c’est le destin de millions de familles qui a été bouleversé du jour au lendemain. 

Après sept mois de guerre, plus de sept millions d’Ukrainiennes et d’Ukrainiens ont été forcés de trouver refuge à l’intérieur du pays. L’EPER vient en aide aux plus vulnérables, souvent à quelques kilomètres seulement de la ligne de front. 

Samedi 18 juin, à l’occasion de la Journée des réfugié·e·s, l'EPER a investi la friche de Prilly-Malley, située dans l’Ouest lausannois. Dans ce lieu d’échange et de découverte, la scène de La Galicienne et le Chapiteau O’Chap accueillaient stands d'informations, projection, concert et Dj’s pour une soirée de soutien sous la thématique « En finir avec les stéréotypes ! ».

Samedi  17  juin  2023 a eu lieu la Journée des réfugié·e·s au théâtre de Vidy. Stands d'informations, théâtre d’improvisation et silent party ont fait de ce lieu d’échange et de découverte, une soirée de soutien sous la thématique « Écoutez-nous ! ».

Parmi les millions d’Ukrainien·ne·s qui fuient à l’étranger, celles et ceux qui arrivent en Suisse passent par les centres fédéraux pour requérants d’asile (CFA). C’est là que Polina, Marina et leurs enfants ont été accueillis par l’EPER pour un placement temporaire dans une famille d’accueil. 

Depuis l’invasion du pays par la Russie, les collaboratrices et les collaborateurs de l’Église ont démultiplié leur action pour apporter de l’aide aux personnes déplacées ukrainiennes qui sont venues s’y réfugier. Découvrez notre reportage en image sur ces histoires de vie chamboulées par la guerre.

Alors que dix millions d’Ukrainien·ne·s ont quitté leur logement par peur des bombardements et que plus de trois millions d’entre eux ont fui à l’étranger, les secours s’organisent de part et d’autre de la frontière. L’EPER est présente sur quatre points d’accès du côté de la Roumanie. Rencontres avec ces familles qui oscillent entre désespoir, gratitude et résilience.

Au Niger, pays d’Afrique occidentale intérieure, le taux de mortalité infantile est l’un des plus élevés au monde. Ce n’est pas surprenant : quand l’accès à l’eau potable fait défaut, les maladies sont nombreuses. Le projet de l’EPER portant sur l’hygiène et l’accès à l’eau potable doit améliorer cette situation dans 24 villages de la région de Zinder, au centre du pays.

Samedi 19 juin, à l’occasion de la Journée des réfugié·e·s, l'EPER, en partenariat avec l'Établissement Vaudois d’Accueil des Migrants (EVAM,) a réalisé un graffiti géant sur la place de l’Europe à Lausanne. Des centaines de passant·e·s curieux se sont arrêtés pour aider à la création de ce graff, qui a été imaginé par des jeunes migrant·e·s du foyer d'Entre-Bois. Ces jeunes ont été épaulés par deux graffeurs professionnels de la région, Skelt et Awoe

Une radio : c’est le nouveau projet initié en début d’année par Age et Migration. De la créativité et un pied de nez au coronavirus, même si celui-ci n’aura pas facilité les choses, jusqu’au bout. Rencontre avec Elma, la responsable du programme transformée pour l’occasion en productrice en cheffe.

2021 marque les 10 ans des Nouveaux Jardins dans le canton de Vaud ! Pour marquer le coup, quelques festivités ont été organisées. Reportage sur les fêtes qui ont eu lieu à Pôle Sud et au plantage de Praz-Séchaud au mois de septembre.

Quoi de plus naturel que de s’intégrer par le sport ? C’est l’ambition de ce nouveau projet de l’EPER qui met en contact des personnes migrantes fraîchement arrivées en Suisse avec des clubs sportifs locaux. Rencontre d’Aster et Ali, 2 des 25 participant·e·s.

Le 14 août 2021, Haïti a été frappé par un violent tremblement de terre. Le séisme, d’une magnitude de 7,2 sur l’échelle de Richter, a une nouvelle fois infligé d’immenses souffrances à la population. Le nombre de victimes se chiffre en milliers et les dégâts causés, notamment dans la région de la Grand’Anse, sont énormes.

Les modes de vie durables et ancestraux des peuples indigènes jouent un rôle déterminant dans la préservation de la diversité des espèces et de la santé des écosystèmes – un exemple à valoriser face à la crise climatique. Reportage au Brésil et en Ethiopie.

Avec le coronavirus, les Permanences volantes ont redoublé d’efforts pour faire face à l’afflux d’appels à l’aide de personnes qui ont perdu leur emploi du jour au lendemain. Zoom sur la communauté mongole auprès de qui l’EPER a été très active.

« Avant notre fuite, nous vivions dans un village de l’ouest du Myanmar. Mon père était pêcheur. Nous avions quelques terres, trois buffles et huit chèvres. Nous avons tout perdu. Au début, nous habitions dans une sorte de hutte fabriquée en tiges de bambou. L’EPER nous a aidés à améliorer notre logement, et nous pouvons désormais manger presque tous les jours les légumes que nous cultivons nous-mêmes. »

Au fur et à mesure que le niveau de la mer monte, des pans entiers de littoraux disparaissent en Afrique de l’Ouest. Le changement climatique y frappe les personnes les plus démunies de manière particulièrement violente alors que leur part de responsabilité face au réchauffement climatique est relativement faible. Zoom sur le Sénégal.