Si l’on ne comprend pas les conversations, on se retrouve rapidement exclu·e et l’on peine ensuite à s’intégrer socialement et culturellement. Le manque de connaissances de la langue ne facilite donc pas l’intégration sociale et professionnelle des personnes migrantes. Malgré de nombreuses offres de cours, ces personnes n’ont guère la possibilité d’utiliser et d’approfondir les connaissances acquises.
Les cours de conversations axés sur la vie quotidienne de l’EPER soutiennent les efforts d’intégration des participant·e·s.