Monde

Dans les pays où elle intervient, l’EPER contribue à améliorer la sécurité alimentaire grâce, entre autres, à des projets d’adaptation aux changements climatiques. Elle promeut une cohabitation pacifique, notamment dans les régions pauvres en ressources, et apporte une aide humanitaire en cas de crise majeure.

L’EPER est présente au Bangladesh, en Indonésie, en Irak, en Israël/Palestine, au Cambodge, au Liban, au Myanmar et en Syrie. Dans ces pays, elle soutient les familles paysannes et les minorités défavorisées dans leurs efforts pour améliorer leurs moyens de subsistance. Elle apporte également une aide humanitaire.

L’EPER entretient, depuis plusieurs décennies, des relations étroites avec les Églises réformées d’Europe de l’Est et soutien l’intégration sociale et professionnelle des personnes défavorisées dans la région.

Au Brésil, au Guatemala, en Haïti, au Honduras, en Colombie et au Venezuela, l’EPER améliore les moyens de subsistance des communautés rurales et contribue à bâtir une société plus juste et pacifique.

Le rapport annuel 2020 de la Division Coopération internationale décrit les activités, l’efficacité et les perspectives des différents projets et programmes de cette division de l’EPER dans ses trois domaines de travail : la coopération au développement, l’aide humanitaire et la collaboration avec les Églises.

Afin de garantir la qualité et la réalisation des objectifs de ses projets, la Division Coopération internationale de l’EPER a défini, pour ses activités, des stratégies, des lignes directrices et des processus de gestions clairs. L’EPER fait également preuve de transparence envers ses donatrices et ses donateurs ainsi qu’envers ses bénéficiaires : elle fait part, dans ses rapports, de ses réussites, de ses échecs et des décisions prises en matière de pilotage.